Les neurosciences au service du bien-être et de la performance !
Vous trouverez régulèrement dans cette page des articles, issus de ma pratique, vous proposant des réflexions entre les neuro-sciences et l’accompagnement. Retrouvez-nous régulièrement en vous abonnant à la newsletter.
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Les modalités d’action de la Neuro-harmonisation confirmées !
Cet article récent de Sciences et Avenir confirme les modalités d’action des mouvements oculaires telles que décrites dans les séminaires de Neuro-harmonisation. En gras la partie qui figurait dans notre documentation pédagogique. Pour rappel, les protocoles oculaires sont plus nombreux et plus ciblés en fonction des besoins dans la Neuro-harmonisation que dans l’EMDR.
Les mouvements oculaires apaisent bien les traumatismes.
L’EMDR, une thérapie controversée, vient d’être validée par l’imagerie médicale.
Se remémorer des événements traumatisants tout en suivant des yeux un objet déplacé par le thérapeute : cette thérapie controversée baptisée EMDR (sigle anglais d' »intégration neuroémotionnelle par les mouvements oculaires »), découverte de manière empirique à la fin des années 1980, vient d’être validée par l’imagerie médicale.
Des chercheurs néerlandais de l’université de Radboud à Nimègue montrent en effet que cette pratique réduit bien l’activité de l’amygdale, la structure cérébrale de la réactivation émotionnelle incontrôlée. En fait, c’est le cortex préfrontal, dont on sait qu’il est renforcé chez des patients atteints de syndrome du stress post-traumatique et traités par EMDR, qui contrôle mieux l’amygdale. Le souvenir n’est pas effacé mais s’immisce moins dans les pensées du patient.
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Savez-vous pourquoi les sirènes des véhicules de secours sont des deux tons ?
Savez-vous pourquoi les sirènes des véhicules de secours sont des deux tons ?
Tout simplement parce que si elles n’avaient qu’un ton, notre cerveau s’y habituerait et ne les percevrait plus.
Vous avez peut-être déjà eu l’occasion d’être en réunion pendant que des travaux avaient lieu sous la fenêtre de votre bureau. Au bout d’un moment, ce bruit continu n’est plus perçu, le cerveau le néglige car il est devenu habituel. Ce n’est que lorsque le bruit cesse que vous vous apercevez qu’il était là et que le silence revenu est perçu comme agréable.
Le cerveau porte une attention sur tout changement qui survient, car ce dernier peut représenter un danger potentiel, il est donc nécessaire de le repérer pour pouvoir s’y adapter.
C’est la raison pour laquelle la sirène des pompiers n’est pas sur un ton uniforme, tout simplement pour l’entendre sur la durée.
Voyons maintenant comment il est possible d’extrapoler ce constat à la posture de leader et de manager ? (suite…)
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Neurosciences et leadership
L’ennui, ennemi de l’apprentissage
Notre cerveau ne prête pas attention aux choses ennuyeuses !
Voilà une phrase bien banale, sans doute pas de quoi écrire un billet de blog. Et pourtant ne tombons-nous pas trop facilement dans ce piège de l’ennui ?
Combien de fois faites-vous des réunions pour faire passer des messages à vos collaborateurs ? Très souvent, vous allez spontanément utiliser un logiciel de présentation pour élaborer un joli diaporama.
Pourrait-on imaginer de meilleures manières d’avoir un impact ? (suite…)